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Sommaire
- Avoir le temps est une posture inconsciente de non vente !
- Les meilleures ventes se font au début de la mise en vente
- Le propriétaire vendeur a pour position naturelle de refuser de négocier quand il a le temps
- Le risque de brûler son bien augmente au fur et à mesure que le temps passe
- Attendre que l’amateur tombe du ciel est illusoire
- Provoquer la chance de rencontrer son amateur est un art
- Conclusion : tout est dans la stratégie
- Quel est l’éclairage du C0ACH pour :
Avoir le temps est une posture inconsciente de non vente !
Les meilleures ventes se font au début de la mise en vente
Tous les amateurs se précipitent sur les nouveaux biens mis en ventePourquoi le Compromis de vente ne vaudrait-il plus vente ? - Bombe au Palais !. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... » pour ne pas rater la perle rare. L’enjouement pour un bien se passe donc au début de sa mise en vente. Plus le temps passe, et moins l’attrait du neuf fait son effet.
C’est donc dès le départ qu’il faut être proactif au niveau des annonces pour maintenir la chance de trouver l’amateur qui va consentir à accepter le prixPourquoi l'acheteur qui n'a pas notifié le refus d'octroi de crédit à temps met le propriétaire dans une mauvaise passe ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... » de vente souhaité. Il faut donc rechercher son amateur sans traîner, tout l’inverse de le faire en prenant son temps !
Pour arriver à conclure une vente, il faudra réunir 2 conditions :
- le visiteur doit pouvoir se projeter dans le bien
- l’amateur doit avoir l’intime conviction de faire une bonne affaire
Le propriétaire vendeur a pour position naturelle de refuser de négocier quand il a le temps
Tout propriétaire qui dit avoir le temps pour vendre son bien se met dans la position de…
 refuser toute négociationPourquoi une négociation pour vendre ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... ». Pourquoi perdre son énergie à négocier puisqu’on attend l’ « amateur » qui forcément va donner ce qu’on demande sans négocier ?
C’est une position utopique car l’amateur est celui qui veut négocier car jamais il ne perçoit la valeurPourquoi négocier son taux hypothécaire ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... » du bien convoité au niveau du prix demandé. C’est donc un refus qui met les acheteurs systématiquement et définitivement à la porte !
Tout accepter ou tout refuser procède de la même paresse, soit refuser d’exercer son esprit critique. Alors que l’inverse ne préjuge en rien de la décision finale d’accepter ou non le prix offert. Quel est  l’intérêt du propriétaire de sortir un amateur d’entrée de jeu au motif d’avoir le temps pour vendre ?
Ce faisant, le vendeur perd l’amateur et ne gagne rien alors qu’en le laissant dans le jeu, il garde la possibilité de le faire changer d’avis… et ça c’est du ressort de la qualité de négociation du vendeur !
Le risque de brûler son bien augmente au fur et à mesure que le temps passe
Un bien brûlé est un bien dont la ou les publications de vente ont lassé le marché. Lorsqu’un site d’annonces immobilières publie sur chaque annonce le nombre de personnes qui l’ont vue, il contribue à brûler le bien. Après 2 mois de publication et/ou +/- 2000 vues nous sommes au début de l’installation de ce phénomène.
Le marché va alors conclure que le bien pose problème : soit sa situation n’est pas favorable, soit son état laisse à désirer et va demander trop de travaux, soit la perception de sa valeur est trop éloignée du prix demandé.
Et la persistance de non vente ne va qu’amplifier cette impressionPourquoi faire bonne impression ou quand la forme prime le fond ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... » dans le temps.
Attendre que l’amateur tombe du ciel est illusoire
Le côté émotionnel de l’achat d’un bien résidentiel est essentiel pour donner envie à l’amateur de convoiter le bien qu’il visitePourquoi faire bonne impression ou quand la forme prime le fond ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... ».
Sans contrainte financière et donc sans stress quant à l’obligation de devoir vendre vite, le propriétaire perd un temps précieux qui à terme va se retourner contre lui.
L’attente passive d’un acquéreur qui tombe par hasard du ciel équivaut à attendre l’arrivée du messie avec le risque de ne pas le reconnaître quand il se présente car tout amateur sérieux veut « négocier » pour se décider, ce que le propriétaire va lui refuser tout net.
Ce jeu va ainsi se poursuivre indéfiniment.
Provoquer la chance de rencontrer son amateur est un art
Avoir la chance de rencontrer son amateur n’est pas due au hasard, c’est un savoir-faire. Le visiteur qui parle de tout sauf de prix indique un non intérêt de sa part. A quoi lui sert-il de discuter du prix demandé s’il n’est pas intéressé ?
Pour rencontrer son amateur il y a lieu d’être proactif à chaque étape du processus d’une vente immobilière en se mettant chaque fois à la place de celui qui recherche un toit. Le propriétaire se doit de se poser la question : Qu’est ce qui m’attirerait vers mon bien si j’étais moi-même à la recherche d’une maison ?
Savoir répondre permet de disposer d’un atout important dans sa stratégiePourquoi la stratégie des agences ne sert que leurs intérêts ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... ».
Conclusion : tout est dans la stratégie
Vendre son bien est un enjeu et non un jeu de hasard car il s’agit de préserver son patrimoine ! Mieux vaut prendre son sort en mains en étant proactif de manière à ouvrir son marché. Si la moyenne des vues à l’annonce de vente publiée est de +/- 100 par jour, vous pouvez croiser les doigts tant qu’elle ne chute pas !
Si ce n’est plus le cas, cette baisse est un signal d’alarme annonciateur d’un désintérêt qui à court terme conduit à la certitude d’avoir un bien « brûlé », c’est à dire que plus personne ne désire acquérir.
Si par malheur le vendeur n’a manoeuvré que pour gagner du temps alors qu’il savait pertinemment ne pouvoir échapper indéfiniment à la vente, il ne pourra plus que brader son bien pour s’en sortir. Un prix surfait se paye très cher car la chute va être sévère en étant par la suite trop demandeur dans un marché déserté.
Avoir le temps de vendre est en réalité la mise en place d’un jeu où le vendeur fait semblant en refusant toute négociation. Or tout l’art de la négociation est justement de ne rien concéder sur l’essentiel soit le prix !
Consciemment ou non, le propriétaire fait en réalité obstacle au cheminement normal vers un accord qu’est la négociation pour ne pas se défaire du bien auquel il tient tant.
C’est le cas où la raison commande de vendre mais où le coeur s’y oppose. Il est alors simple d’attendre de trouver l’amateur idéal qui viendra acheter sans discuter du prix. Il ne viendra évidemment jamais, et c’est ce qui est en réalité souhaité !
…avec l’éclairage du coach.
Quel est l’éclairage du C0ACH pour :
Négocier tout en restant dans la marge de prix que l’on s’est fixée ?
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A tout bientôt j'espère...
Et d'ici là , que la réussite vous habite.
Gаston - le Coаch Mаіson !
Attention : Publication avec la même réserve d'usage que celle mentionnée dans
Lorsque l'immobilierPourquoi le consentement, la loi et l'immobilier sont intimement liés ?. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ... » va, tout va !
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